Le peuple de France trouve refuge dans ses valeurs inaliénables
Le peuple de France trouve refuge dans ses valeurs inaliénables

A l’heure du confinement et avec l’annonce de sa prolongation, le peuple de France trouve refuge dans ses valeurs inaliénables :FAMILLE , EDUCATION, PATRIE
Depuis le mardi 17 mars, les Françaises et les Français traversent une épreuve inédite, celle du confinement, seuls ou entourés de leur famille, en ville ou à la campagne, en bonne santé ou malheureusement touchés par la maladie. Chacune de ces situations a un point commun : le besoin légitime de se rassurer ou d’être rassuré. Avec les mesures du gouvernement qui évoluent au jour le jour, ou qui changent du tout au tout d’une semaine à l’autre, voire du jour au lendemain, chaque individu se raccroche à ce qu’il a de plus cher au plus profond de lui-même : les valeurs qui guident son parcours de vie.
C’est la première fois depuis la seconde guerre mondiale qu’une telle décision aussi radicale est prise, le Président de la République prononçant à plusieurs reprises le mot « Guerre » pour la justifier. Dans une société où depuis des années, l’individualisme, la vie professionnelle, et l’économie ont pris le dessus au détriment de la famille, de l’éducation et du patriotisme, le confinement, en dehors de son importance sanitaire, n’est-il pas le moyen de retrouver ces valeurs essentielles et refuges de notre vie ?
C’est dans une configuration réduite de la famille que les Français se retrouvent, du fait que les personnes âgées, et donc les grands-parents, sont les plus vulnérables au virus et doivent éviter leurs entourages. Le confinement se retrouve donc dans une très large majorité limité à parents-enfants.
Le lien familial n’est jamais aussi fort que dans les situations de crise, au sens aussi de bouleversement personnel. Il est légitime de vouloir retrouver des repères rassurants. C’est ce que nous recherchons tous et nous attendons de la part de notre gouvernement qu’il nous donne les moyens de retrouver confiance et de chasser l’anxiété. Les sondages récents démontrent qu’il n’est pas au rendez-vous pour un grand nombre de Français. Alors quoi de plus normal que de se réfugier dans le cercle de notre famille sur laquelle on pourra toujours compter : notre famille de sang ou de cœur, en comptant aussi sur notre famille politique, la famille de droite qui ne tournera jamais le dos à une de ses valeurs intrinsèques.
Nous avons la chance d’avoir à titre personnel nos parents respectifs qui habitent à côté. Nous les appelons tous les jours pour prendre de leurs nouvelles. La seule visite est de leur déposer les courses devant leurs maisons, car il faut éviter qu’ils aient des contacts avec d’autres personnes. C’est une situation difficile que beaucoup d’entre nous doivent vivre. On se dit aussi qu’on a de la chance d’avoir encore nos parents à nos côtés et qu’ils soient en bonne santé et autonomes. Ce n’est malheureusement pas le cas pour tous. Mais comment ne pas imaginer qu’ils pourraient être touchés par le virus et qu’on ne pourrait plus jamais les revoir. Cette pensée est angoissante. On sait qu’un jour, nos parents ne seront plus, mais jamais nous n’aurions pu croire que cela pourrait être le fait d’une pandémie.
Et quelles conséquences ce confinement a sur notre vie de famille? Tout simplement à apprendre à vivre ensemble en famille ! Ce qui peut paraitre fou mais qui est une réalité de nos jours !
Depuis des décennies, le temps passé en famille entre parents et enfants s’est considérablement réduit dû à plusieurs facteurs de la vie, le plus important étant celui de notre vie professionnelle. Depuis une cinquantaine d’années, dans la majorité des cas, ce sont les deux parents qui travaillent (divorce, niveau des salaires trop bas, émancipation des femmes, ... ). Si dans les années 70 et 80, le temps passé en famille était encore très important, et nous en sommes des témoins privilégiés, cela s’est dégradé à partir des années 90. La course aux résultats, l’arrivée des nouvelles technologies ne cessant de progresser, ont complètement modifié notre façon de vivre laissant la place à plus d’individualisme même dans son propre cercle familial. Avant, quand les parents rentraient à la maison, ils étaient totalement disponibles, ils passaient la quasi-totalité du temps à s’occuper, à jouer, ou sortir avec les enfants. Qui ne se rappelle pas dans les générations plus anciennes des parties interminables de jeux de société, de pique-niques le dimanche, ou la vision d’un film à la télévision (et oui ! On oublie qu’il n’y en avait qu’une par maison !) ?
Aujourd’hui que se passe- t-il : arrivées de plus en plus tardives, consultation des mails, travail de dossier le week-end, parce qu’on demande tellement de réactivité professionnelle que le temps passé en entreprise ne suffit plus…..et c’est encore plus d’actualité dans une famille monoparentale. Un fossé s’est souvent creusé entre enfants et parents ne se comprenant pas. Mais au fond se connaissent-ils vraiment aujourd’hui ? Dans bien des cas, c’est malheureusement non !
Mais à défaut d’avoir des parents toujours disponibles, la majorité des familles ayant au moins deux enfants nous pouvions nous retourner sur nos frères et sœurs. Ils passaient beaucoup de temps ensemble à s’amuser, à s’entraider pour les devoirs, les grands aimaient s’occuper des petits, et comme il n’y avait qu’un seul appareil par famille alors tout était partagé. Mais avec l’arrivée de l’informatique, des tablettes et smartphones, des consoles de jeux, chacun possédant son appareil, aujourd’hui tout le monde reste de son côté « connecté » et la fratrie si présente il y a encore quelques années entre jeunes se fissure de plus en plus vers, là encore, un individualisme naissant dès le plus jeune âge !
Dans le cercle familial, les discussions, les partages, sont de plus laissés de côté au détriment des appareils connectés individuels. Il est frappant de s’apercevoir, quand nous voyons une famille attablée dans un restaurant, que souvent chacun d’entre eux a les yeux rivés sur le smartphone. Et ce sont souvent les parents qui le sont le plus ! Comment ensuite donner l’exemple aux enfants ? Où est le partage ? Où est le vivre ensemble ? Où se trouve l’apprentissage des règles de vie ? Je veux bien que le temps où les enfants n’avaient pas droit à la parole à table soit révolu, mais on en est presque aujourd’hui à l’inverse
Le confinement forcé est finalement comme si nous avions une caméra qui nous filme pour nous faire prendre conscience de ce qu’est devenue notre vie de famille aujourd’hui. Et de prendre aussi conscience que l’éducation est la pierre angulaire de la réussite de nos enfants.
Justement que peut-on dire sur l’éducation de nos jours ?
Les effets sur la vie de famille dus au changement de mode vie ont agi naturellement comme un ricochet sur l’éducation des enfants. Pourtant le premier rôle essentiel d’un parent avec la protection, est l'éducation. Nous sommes passés en peu de temps finalement (une génération), de parents très présents à des parents plus ou moins absents, avec il est vrai, le sujet des familles séparées et parfois des doubles éducations qui ne sont pas compatibles entre elles !
La préoccupation de beaucoup de parents croisés au lendemain de l’annonce de la fermeture des écoles n’était pas de savoir où les enfants iraient comme cela est le cas pour une grève dans l’éducation nationale, mais que pourraient-ils faire avec eux et comment les occuper ?
Avec le confinement, c’est toute l’organisation de notre système éducatif qui est bouleversée elle aussi. Et les failles du système actuel apparaissent plus nettement encore à la lumière de la cacophonie gouvernementale. Les inégalités dans la poursuite pédagogique sont saillantes à tous les niveaux. Entre les écueils de la réforme récente de l’Éducation nationale et l’hétérogénéité des dispositifs pédagogiques de substitution, comment s’y retrouver ?
Les enseignants sont eux-mêmes perdus, avec peu d’aide ou sans accompagnements clairs, et leurs moyens sont hétéroclites. Les parents sont bien démunis et les situations personnelles ne permettent pas de bénéficier d’un enseignement qui permettra à nos enfants de subir le moins possible les effets de la crise actuelle. Peut-on blâmer un enfant qui n’a pas fait ses devoirs ? Il faudrait au préalable penser à ses conditions de travail : a-t-il un équipement informatique ? et si oui, avec une connexion convenable ? est-ce que ses parents télé-travaillent ? est-ce que ses parents ont des difficultés financières en raison des mesures de chômage partiel qui touchent un salarié sur trois ? quel est son lieu de vie ? a-t-il la possibilité de s’isoler pour faire son travail d’élève ?.... L’éducation de nos enfants ne doit pas être traitée à la légère mais on ne doit pas traiter non plus les Françaises et les Français à la légère.
En dehors de la partie scolaire, le confinement est un moyen de redécouvrir le bonheur de partager des moments en famille, de faire des choses simples qu’on ne faisait plus ensemble et même si une partie de la journée doit laisser la place à la façon de communiquer d’aujourd’hui avec les réseaux sociaux et d’être devant un écran, elle se mélange avec les autres mais n’est plus la seule activité de la journée !
Et puis en dernier lieu, on leur apprend le sens de l’intérêt général en respectant le confinement pour permettre de sauver des vies. Au fond, n’est-ce pas aussi pour nous une véritable raison de remettre en valeur le sens du patriotisme en agissant de la sorte ?
Où était passé depuis 1945, le respect de la patrie et avec elle la fierté d’appartenir au peuple de France, avec la reconnaissance de son Histoire, de son passé, de son présent, et la volonté de croire en son avenir ? Il y a bien eu l’épisode éphémère de la guerre en Irak en 1991, mais c’est véritablement la première fois qu’un Chef de l’Etat et donc des armées nous annonce à plusieurs reprises que nous sommes en « guerre », de plus contre un adversaire invisible.
Au début des premières mesures, on ne peut pas dire que la réaction des Français ait été très patriotique ... on était là aussi encore dans l’individualisme … les chefs des partis politiques ne montrant pas mieux l’exemple en faisant pression sur Emmanuel Macron afin de maintenir le 1er tour des élections municipales avec, on le sait aujourd’hui, des décès d’assesseurs, présidents de bureaux et même d’élus liés à leur présence ce jour dans les bureaux de vote !
Dès l’annonce du confinement, on a vu des scènes assez impressionnantes de personnes se ruant dans les centres commerciaux vidant les stocks de pâtes et de papier toilettes, en en venant parfois presque aux mains dans les rayons…
Les premiers jours de confinement, nous avons vu encore des gens nombreux dans les rues, ne prenant peut- être pas tout à fait conscience du risque qu’ils prenaient pour les autres et pour eux.
Ce qui a déclenché le respect du confinement, c’est la réalité du nombre de morts qui commençait à se succéder à la hausse chaque jour comme finalement dans une « guerre », et du débordement du personnel médical face aux arrivées massives en réanimation.
La prise de conscience étant arrivé, un esprit de solidarité s’est emparé du peuple de France.
Tous les soirs à 20h, plusieurs milliers de personnes vont applaudir sur leur balcon ou devant leur maison, pour remercier tous les soignants qui risquent leur vie pour en sauver d’autres. Nous voyons sur les réseaux sociaux des propositions d’aides des personnes les plus jeunes vers les plus âgées pour qu’elles ne se retrouvent pas isolées ou tout simplement pour leur faire les courses afin qu’elles ne prennent pas de risque en sortant... Il restera toujours quelques inconscients qui ne respectent rien mais se respectent-ils déjà eux-mêmes ! Les Français ont aujourd’hui compris que nous gagnerons cette guerre ensemble et pas chacun de notre côté.
C’est cette belle image de patriotisme que nous devons inculquer à nos enfants pendant cette crise.
Aujourd’hui, plus que jamais, les Françaises et les Français aspirent à retrouver la confiance ; ils la retrouveront en ayant le sentiment que leur patrie sera à leur chevet, quelle que soit leur situation personnelle, leur situation économique, et quel que soit le contexte mondial.
A l’heure du confinement… et aussi depuis toujours, la droite républicaine affirme haut et fort les valeurs essentielles et refuges de la vie, qui sont les piliers de son mouvement pour donner aux Françaises et aux Français les repères qu’ils attendent pour avancer sereinement dans leur parcours de vie. Et pour combattre la crise économique sans précédent qui s’annonce, nous devrons être soudés comme jamais, et ces valeurs, Famille, Éducation, Patrie redécouvertes pendant cette période de confinement nous seront nécessaires.


Les trois piliers du vote à droite — immigration, insécurité, identité — forment désormais un socle commun
Ce que les états-majors n’osent pas faire, les électeurs le feront



EXCLUSIF- Après les révélations du Figaro sur l’existence de dizaines de millions d’euros de subventions attribuées à des organismes proches de l’islam radical, le ministre délégué chargé de l’Europe Benjamin Haddad tape du poing sur la table, et appelle à renforcer la lutte contre les discours de haine.
Paris fera-t-il plier Bruxelles? Selon les informations exclusives du Figaro , la France va dénoncer très prochainement auprès de la Commission européenne les multiples financements que l’UE a attribués à des organismes promouvant l’islam radical, l’antisémitisme ou le séparatisme.
Dans une note consultée par Le Figaro , qui sera portée par le ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, Paris appelle «l’Union européenne à redoubler ses efforts» dans la lutte contre l’antisémitisme et contre les discours de haine, et à «défendre les valeurs européennes (...) en évitant tout financement à des entités et personnes hostiles aux valeurs européennes». Ces « défaillances (...) sont de nature à nuire gravement à l’adhésion de nos concitoyens au projet européen» , peut-on aussi lire.
«Scandales réguliers»
D’après une source proche du dossier, cela fait suite à des «scandales réguliers» qui ont été révélés par Le Figaro il y a quelques semaines, et qui «démontrent un défaut de vigilance de la Commission et une capacité des organisations islamistes à se jouer de sa naïveté».
Rappelons en quelques lignes le fonctionnement des subventions européennes. En théorie, toutes organisations cherchant à en profiter doivent porter des actions «respectant les valeurs de l’UE» , à savoir la liberté, la démocratie, l’égalité, l’état de droit ou les droits de l’homme. Une fois les subventions approuvées en commissions - et il en existe pléthore -, elles sont référencées dans le système de transparence financière (STF), un site internet public dont le contenu est actualisé tous les 30 juin, et accordées dans le cadre de «programmes» et par des agences européennes spécifiques.
À titre d’exemple, l’UE a engagé en septembre 2024 une contribution de près de 2,5 millions d’euros pour le projet «LIFE Vinoshield» , qui cherche à protéger les vignes européennes contre les effets du dérèglement climatique. Un autre projet plus controversé, celui du « Coran européen » , qui souhaite prouver que «le Coran a joué un rôle important dans la formation de la diversité et de l’identité religieuses européennes médiévales et modernes» , a lui reçu 9,8 millions d’euros de subventions du Conseil européen de la recherche depuis son lancement en 2019. Des dizaines de milliers de projets aux ambitions aussi diverses que variées sont référencées ainsi sur le STF.
Une université qui appelait à l’«intifada mondiale»
Avec cette note, le gouvernement entend surtout dénoncer les organisations proches de l’islam radical ayant profité de l’argent européen. L’association FEMYSO, pour «Forum des organisations européennes musulmanes de jeunes et d’étudiants» , qui représente une trentaine d’associations de jeunesse dans 22 pays européens, est notamment en ligne de mire. Elle a reçu plus de 210.000 euros de l’UE. Pourtant, l’association a toujours été réputée comme étant proche des Frères musulmans.
Après avoir critiqué plusieurs lois françaises, notamment celle interdisant le port de signes religieux ostentatoires à l’école, FEMYSO, par la voix de sa présidente Hande Taner, avait critiqué la France dans une vidéo en novembre 2021, dans laquelle elle clamait que «la plus grosse exportation de la France est le racisme». Des propos tenus après le retrait d’une campagne de communication que l’association avait réalisé pour le Conseil de l’Europe, qui mettait en avant des affiches pro-voile, sur lesquelles on pouvait lire: «La beauté se trouve dans la diversité comme la liberté dans le hidjab» ou «Apportez de la joie, acceptez le hidjab».
L’ONG internationale Islamic Relief Worldwide a, elle, reçu pas moins de 18.834.433 euros de l’Europe entre 2014 et 2020. Cette association qui se présente comme caritative a pourtant été classée comme «terroriste» par Israël, la soupçonnant de financer le Hamas. L’un de ses responsables avait aussi qualifié en 2020 les juifs de «petits enfants de singes et de porcs». Son successeur avait lui caractérisé le Hamas comme étant le «plus pur mouvement de résistance de l’histoire moderne».
Les subventions versées à l’université islamique de Gaziantep sont également dans le collimateur de Paris. Cet établissement, situé en Turquie et qui a intégré le programme Erasmus+ en 2022, a profité d’un programme de subventions de 250.000 euros. Ses recteurs successifs avaient pourtant légitimé les mariages incestueux entre oncles et nièces, affirmé que les athées «adorent le diable» , que l’homosexualité est un «trouble psychologique» et appelé à une «intifada mondiale».
Près de deux millions d’euros ont aussi été versés à l’université islamique de Gaza, «établissement qui a accueilli des cadres du Hamas tels qu’ Ismail Haniyeh et Mohammed Deif » , expliquait au Figaro la sénatrice UDI de l’Orne Nathalie Goulet ( L’argent du terrorisme , éditions Le Cherche Midi, 2025).
«Lignes directrices»
Pour endiguer cette dilapidation d’argent public, la note portée par Benjamin Haddad soumet plusieurs propositions, comme la mise en place d’une «procédure de filtrage» et de «lignes directrices», pour que les agences européennes approuvant les subventions puissent être guidées face à des «concepts parfois abstraits, comme l’“hostilité aux valeurs européennes”», indique au Figaro notre source proche du dossier.
Elle appelle aussi à vérifier l’identité et les antécédents des personnes associées aux entités faisant la demande de financements. Actuellement, seuls les antécédents de l’entité elle-même sont scrutés - ce qui avait d’ailleurs été dénoncé en avril dernier par la Cour des comptes européenne dans un rapport au vitriol, portant sur l’opacité des subventions distribuées par l’UE. On pouvait y lire qu’ «aucune vérification n’est réalisée (par les gestionnaires) sur la dépendance financière ou les sources de financement (des entités subventionnées), alors que cela aurait permis d’obtenir des informations utiles sur les personnes qui se trouvent derrière (elles)».
La lutte contre l’antisémitisme comme priorité
Enfin, cette note prône une meilleure lutte contre l’antisémitisme, alors que les discours antijuifs ont explosé dans toute l’Europe depuis l’attaque terroriste du Hamas le 7 octobre 2023, et la guerre à Gaza qui a suivi.
Pour ce faire, Paris compte proposer d’étendre le champ des «eurocrimes» - ces méfaits considérés comme graves dans toute l’Union (terrorisme, mariage forcé...) - aux discours et crimes de haine.
La France appelle également la Commission à «utiliser tous les outils à sa disposition pour réguler les très grandes plateformes en ligne, en particulier grâce au règlement européen sur les services numériques (DSA)» , et à enseigner la mémoire de la Shoah dans tous les établissements scolaires en Europe.
La Commission européenne cernée de toutes parts
Cette note dite «libre» sera présentée dans un premier temps ce lundi à la ministre fédérale autrichienne des Affaires européennes, Claudia Plakolm, lors d’une réunion à Paris à laquelle le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et Benjamin Haddad doivent participer. Elle sera ensuite présentée formellement au Conseil des affaires générales (CAG), où les ministres des affaires européennes de l’ensemble des 27 ainsi qu’un représentant de la Commission européenne se réunissent une fois par mois.
Le sujet des subventions de l’UE se veut de plus en plus prégnant au sein des partis politiques. Toujours selon nos informations, à la suite des révélations du Figaro , la délégation du Rassemblement national au Parlement européen, menée par Jean-Paul Garraud, a adressé le 24 avril dernier une lettre à Ursula von der Leyen. Le courrier, cosigné par l’ensemble de la délégation dont Jordan Bardella, demandait à la présidente de la Commission européenne «de mettre fin définitivement à la subvention de toute association, ONG, université et autre structure liée de près ou de loin à l’islamisme. Il est temps que l’Union européenne mette fin à sa naïveté», pouvait-on lire. Pour l’heure, ce courrier est resté lettre morte. À voir si la note du gouvernement connaît le même sort.




