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"Je ne laisserai pas faire le délitement de notre Nation."

  • par Guillaume Peltier
  • 26 janv., 2021

"Je ne laisserai pas faire le délitement de notre Nation."


Une tribune de Guillaume Peltier publiée sur sa page Facebook :

Sont-ils devenus fous ? Chaque jour qui passe apporte et transporte son lot d’humiliation et de lâcheté.

Il y a bien sûr la bureaucratie triomphante qui, enveloppée d’arrogance, continue à échouer sur la stratégie de vaccination faisant de la France la championne du monde de la… non-vaccination. Les derniers chiffres sont criants de vérité : au 18 janvier 2021, plus de 12 millions de personnes ont été vaccinées aux États-Unis, plus de 4 millions au Royaume-Uni, près de 2,5 millions en Israël, 2 millions aux Émirats Arabes Unis, plus d’1 million en Italie, en Allemagne et en Russie, près de 800 000 en Espagne et en Turquie. Quant à la France, nous atteignons péniblement les 400 000 vaccinés. Sans parler des lourdes erreurs logistiques et des lenteurs technocratiques des Agences régionales de santé (ARS) qui risquent de faire perdre à la France jusqu’à 30% des doses ou qui nous font déjà manquer de seringues dans nos hôpitaux. Je vous rappelle que, pourtant, dès le mois de septembre dernier, nous faisions trois propositions fortes au Gouvernement : la transparence absolue sur le nombre de vaccins commandés et acheminés, la coordination avec les régions et les élus locaux pour gagner en proximité et en efficacité, une organisation logistique solide avec nos armées et nos professionnels de santé, comme nos médecins, nos pharmaciens et nos infirmiers. A l’heure où j’écris ces lignes, aucune d’entre elles n’a encore été prise en compte. Et si nous n’avions pas sonné l’alarme pendant les fêtes de Noël sur les vaccins, nous serions encore dans une situation bien pire car ce Gouvernement a systématiquement une guerre de retard, sur les masques, sur les tests, sur les lits de réanimation et maintenant sur les vaccins…
Mais je ne peux taire le reste qui est, au moins, aussi essentiel. En quelques jours, la semaine dernière, nombre d’informations et de révélations ont alimenté une course folle à la bêtise, à l’outrance et au mépris des valeurs de bon sens dans notre pays.
Rappelez-vous, nous apprenions il y a dix jours le plan caché du Gouvernement pour répartir des milliers de migrants dans nos villes et nos villages. Il fallut rappeler que nos régions n’ont pas à être les victimes du laxisme migratoire du Gouvernement.
Lundi 11 janvier dernier, nous observions les GAFAM, Google, Twitter et Facebook, fermer unilatéralement les comptes des réseaux sociaux de milliers d’Américains au nom du délit d’opinion, sans que personne, ou si peu, ne s’émeuve du maintien, dans le même temps, de tous les comptes totalitaires ou insultants des apprentis terroristes, des antisémites, des porteurs de haine contre la France, des dirigeants comme Ali Khamenei, le guide suprême iranien, ou de Recip Erdogan, le président turc. Jusqu’à quand offrirons-nous aux GAFAM ce pouvoir vertigineux sur nos vies, nos idées, décidant, en une seconde, des ascensions et des chutes de ceux qui ne se soumettent pas à la pensée unique ?
Le mardi suivant, nous apprenions que le Gouvernement venait de confier au cabinet américain McKinsey, pour deux millions d’euros par mois, le conseil en stratégie de la campagne de vaccination française. Cela en dit long sur le désarmement sanitaire et logistique de l’État. Sans parler de notre souveraineté, de l’argent des contribuables et des informations confidentielles confiées à une entreprise étrangère.
Mercredi, le lendemain, nous pouvions lire une interview honteuse d’une « chanteuse », Camélia Jordana, dans le Nouvel Observateur qui pouvait déclarer sans vergogne : « les hommes blancs sont, dans l'inconscient collectif, responsables de tous les maux de la Terre (…). L’ensemble de mes chansons disent que si j’étais un homme, je demanderais pardon, je questionnerais les peurs, et je prendrais le temps de m’interroger »… A l’exception de mes collègues parlementaires, les réactions furent rares, et à l’exception de la LICRA, aucune organisation anti-raciste ne dénonça ces propos racialistes qui font de la couleur de la peau un argument de jugement. Imaginons un instant l’inverse… Espérons qu’elle demande pardon pour le nombre de bêtises qu’elle profère depuis longtemps. Il y a urgence à dénoncer ce militantisme extrémiste qui souffle sur les braises communautaires et fracture la fraternité nécessaire à notre peuple. La France, et c’est notre fierté, ne considère pas la couleur de la peau, ni l’origine. La France aime tous ses enfants qui la respectent et qui n’oublient pas qu’au-delà des droits, il existe des devoirs de respect et d’adhésion à notre communauté nationale.
Puis le jeudi, nous entendions le maire les Verts de Grenoble fermer une crèche municipale après des menaces de trafiquants de drogue. Les familles sont en colère et nous aussi : un élu de la République ne se soumet jamais aux dealers. C’est l’État qui fait la loi, pas les délinquants.
Et puis, pour ceux qui espéraient une pause le week-end dernier, il y eut le feu d’artifice dominical.
Dimanche après-midi, nous découvrions qu’Emmanuel Macron et la majorité présidentielle déclaraient « irrecevables » les amendements courageux déposés pour limiter l’immigration, pour défendre la laïcité et pour interdire le port du voile aux mineurs dans l’espace public dans le cadre de la future loi contre le séparatisme. Comment accepter que le Président de la République fasse le choix de la soumission face à l’islamisme ?
Puis, ce fut au tour de Lilian Thuram, l’ancien footballeur, d’insulter notre histoire et nos policiers. Lui qui ne fut pas exempt de tout reproche lors de la Coupe du Monde 1998, rêvant d’une photo où « les Blancs » n’avaient pas leur place. Dimanche, sur TF1, à une heure de grande écoute, il put déverser sa lourde hostilité contre nos policiers. Oubliant que nos forces de sécurité sont notre fierté parce qu’elles nous protègent au péril de leur vie. Oubliant que notre police est fière de sa diversité, composée d’hommes et de femmes de tous milieux.
Enfin, sur M6, nous obtenions confirmation de ce que nous dénonçons depuis des années : l’immense organisation mafieuse des aides sociales si bien dénoncée par mon collègue du Loir-et-Cher, le député Pascal Brindeau. 30, 40, 50 milliards de fraudes sociales chaque année qui disparaissent du budget de l’État et des contribuables honnêtes. Circulation massive de fausses cartes vitales, faux bénéficiaires résidant à l’étranger, allocataires décédés, fausses cartes d’identité permettant à un Belge fondateur de Daech de s’inscrire à la Sécurité sociale… Et pendant ce temps-là, des milliers de citoyens honnêtes étaient verbalisés pour non-respect de quelques minutes du couvre-feu…
J’arrête là, pour le moment, ma triste litanie de la semaine passée. Elle révèle un effondrement de notre patrie et de nos gouvernants. Certains s’en réjouissent, quelques autres ne voient pas la gravité du problème, quelques-uns, de moins en moins nombreux, certes, continueront à soutenir ce pouvoir en place déliquescent ; Je ne suis pas de ceux-là. Je ne laisserai pas faire. Plus que jamais, je crois en notre patrie, en la solidité de nos forces vives, en la puissance de la majorité silencieuse, en la profondeur de notre histoire, en l’espérance de notre destin commun.
Devant toutes ces « étranges défaites » de la politique nationale et locale, je pense aux mots de Marc Bloch : « Être un vrai chef, c'est, avant tout peut-être, savoir serrer les dents. C'est insuffler aux autres cette confiance que nul ne peut donner s'il ne la possède lui-même. ». Plus que jamais, nous devons faire la politique des hommes de caractère et non celles des compromissions. Notre nation a besoin d’indépendance face à la crise sanitaire. Elle a besoin de fermeté face à la menace des caïds. Elle a besoin de liberté face aux bureaucrates. Elle a besoin de nouveaux gouvernants solides, courageux, enracinés qui tiennent parole, inspirent confiance et se montrent droits dans l’épreuve. Nous devons présenter aux Français une vision noble, souveraine et efficace de la politique. Notre ambition est de rassembler les Français. Ce projet, que je porte chaque jour, vous le connaissez. C’est celui de la France d’en bas qui n’attend pas les instructions d’en haut. Celui de la révolution du bon sens et du courage populaire.
Je me suis engagé en politique pour être le porte-parole de cette immense majorité, cette cordée silencieuse, qui n’en peut plus d’être toujours sacrifiée, toujours oubliée, toujours méprisée. Deux maladies endémiques rongent notre pays et nos compatriotes : la primauté du profiteur sur le travailleur ; la primauté du délinquant sur la victime.
Pourquoi la société française serait-elle condamnée à n’être dirigée que par les oligarques de la haute fonction publique ? Pourquoi serait-elle condamnée à être tirée vers le bas par la petite cohorte des assistés et des profiteurs ? Bien sûr que la société doit assistance aux plus modestes comme aux accidentés de la vie. Mais nous devons être intraitables avec ceux qui profitent du système.
Je me suis engagé en politique pour défendre et protéger ceux qui travaillent, ceux qui prennent des risques, ceux qui veulent travailler, ceux qui font des efforts, ceux que l’on n’entend jamais et à qui on demande toujours tout. Je me suis impliqué en politique pour rendre à mon pays ce qu’il m’a donné et offrir aux Français ce qu’ils méritent.
La politique est « l’art de rendre possible ce qui est nécessaire », disait Richelieu, et le moyen le plus efficace de changer la vie – si l’on refuse d’écouter les oiseaux de mauvais augure, les gens de peu de foi et les défaitistes professionnels de la bourgeoisie bien installée.
Comme dans mon livre « Milieu de cordée », j’ai aussi décidé d’écrire ces quelques lignes au nom de la politique. Ce gros mot pour ceux qui veulent que rien ne change. Ce gros mot pour les hommes bien nés qui n’ont pas besoin que tout change. Pour ma part, j’aime ce mot. Il est le mot ramassé, efficace, et pourtant chantant, de l’espérance. La politique, c’est le pouvoir de changer la vie. N’est-ce pas là le fondement de la dignité humaine et de notre liberté ? Oui, le pouvoir de faire, le pouvoir d’agir, le pouvoir de changer le sens de l’histoire, le pouvoir d’échapper au déterminisme social, le pouvoir de s’émanciper. Celui d’aider les autres.
Dans quelques milieux bourgeois bien-pensants, qui se disent larges d’esprit, et pourtant si étroits de cœur, critiquer la politique et la notion de pouvoir est chose habituelle. C’est normal, ils soutiennent toujours le pouvoir en place, pensent le posséder en tous domaines, et veulent dégoûter quiconque n’est pas né comme eux de s’y intéresser et surtout de s’en emparer. Il pourrait être dangereux que des filles et fils de rien, venus de nulle part, sans titre, sans réseau, ni références, puissent un jour le conquérir, mettre fin aux privilèges acquis et établir un ordre juste, fondé sur le mérite et l’effort. Mais, dans leur esprit, la « politique » est un gros mot. À mes yeux, c’est un grand mot. Un mot grec, un mot ancien qui évoque cet espace public que les dieux ont abandonné aux hommes.
Le pouvoir pour le pouvoir, cela n’a aucun sens. La soif de puissance ne mène à rien. Mais le pouvoir pour changer la vie de ceux qui n’ont plus rien ou pas grand-chose, si ! Le pouvoir pour protéger les plus faibles et récompenser les méritants comme les preneurs de risque, si ! Le pouvoir pour redonner de la liberté aux créateurs, aux entrepreneurs, aux travailleurs, si ! Le pouvoir pour sanctionner les voyous et les délinquants, si ! La voilà, l’affaire de toute une vie.
A chacun de vous, à tous les patriotes, à tous les travailleurs, à tous les citoyens affranchis et à tous les esprits libres, je le redis : je ne laisserai pas faire. Vous pouvez compter sur moi, à vos côtés, pour faire vivre et incarner cette ambition qui n’est pas seulement la mienne. Cette ambition, depuis plus de mille ans, c’est celle de la France.
par Lignes Droites 28 avr., 2024
par Eule 27 avr., 2024

Billet d'humeur d'un de nos fidèles membres : 


Chers amis,

Je voudrais livrer quelques réactions à la réunion de Lignes Droites sur l’islam du 3 avril 2024.

Sur la façon dont les « Chrétiens voient les Musulmans », toute la littérature universitaire sur la communication interculturelle explique les obstacles à la compréhension entre les membres de cultures différentes par l’ethnocentrisme. C’est devenu une tarte à la crème. On se culpabilisera donc en bon Chrétien de ne pas chausser les bonnes lunettes pour comprendre les Musulmans. Mais pourquoi ne pas inverser le problème ? Car il y a réversibilité. C’est que le Musulman n’est peut-être pas enclin par sa propre culture « religieuse » à chausser les bonnes lunettes pour comprendre le Chrétien. Il a de la chance, lui, que sa religion et son espace culturel ne le culpabilisent pas. Pauvre Europe judéo-chrétienne qui combat au quotidien aujourd’hui ses propres racines !

Sur la distinction entre Islam et Islamisme on saura gré au second orateur d’oser dire qu’il n’y a pas de différence de nature mais seulement de degré entre l’Islam et l’Islamisme. C’est quand même bon de le rappeler quand toute l’hypocrisie de la classe politique française « républicaine » s’acharne à mettre en garde les âmes égarées par le « nationalisme » ou l’aveuglement idéologique de droite et d’extrême droite sur l’abominable péché de l’amalgame. Les Islamistes doivent bien rigoler !

Enfin, merci à madame Bergeaud-Blacker d’entrer dans le vif du sujet. Son livre montre assez éloquemment que l’Islamisme est une entreprise totalitaire, comme tous les fascismes de droite et de gauche (Stalinisme, Hitlérisme, « Mussolinisme », Mélenchonisme, même combat). Le déni consiste non pas à ne pas voir ce que l’on voit, mais à ne pas vouloir voir ce que l’on voit. Que voit-on ? Des actes de barbarie contre les personnes issues de la civilisation occidentale, Chrétiens, mais aussi Musulmans occidentalisés. Des actes de barbarie contre des jeunes d’origine maghrébine, scolarisés dans les écoles publiques de la République et qui veulent s’intégrer. Ces jeunes sont la cible des talibans de France parce qu’ils trahissent leurs idées et font obstacle à leur volonté d’instaurer l’ordre islamique partout dans le monde, en commençant par son maillon faible, les démocraties occidentales où l’Etat national est en déconfiture, où l’Etat français ne protège plus ses citoyens. C’est classique. Pendant la guerre d’Algérie, le FLN a commencé par liquider les Musulmans modérés avant de s’attaquer à la communauté française d’Algérie. L’idéologie du « droit-de l’hommisme », répandue par les institutions européennes, qui se traduit par la jurisprudence des Cours constitutionnelle et Conseil d’Etat français, conjuguée au cynisme de l’extrême gauche islamo-gauchiste entrave l’action politique contre cet islamisme de combat. Dans ces conditions qui se dégradent de jour en jour au vu et au su de tout le monde, la soumission, évoquée par Houellebecq, s’invite au cours de l’Histoire. On aimerait passer à la vitesse supérieure et examiner plutôt les conditions dans lesquelles l’Occident peut encore faire face à sa disparition programmée par l’Islam. Faute de quoi la vraie question est « Quand ?», quand l’islamisation de la société française sera-t-elle achevée ? Dans une, deux, trois générations ?




par Lignes Droites 25 avr., 2024

Compte–Rendu de la Conférence organisée par Lignes Droites 31 le 2 avril 2024 à Toulouse : Islam et Islamisme


Dans cette conférence qui a rassemblé un auditoire de plus de 100 personnes, trois intervenants particulièrement qualifiés ont exposé leur vision sur les sujets de l’islam et de l’islamisme, cités ci-dessous par ordre d’intervention:

M. Mathieu Taieb , ancien officier supérieur de l’armée de terre, musulman converti au catholicisme, auteur de Devenir votre frère, publié en 2023 aux éditions MAME

Le père François Jourdan , docteur en théologie, en histoire des religions et en anthropologie, auteur de L’islam sans faux-semblants, publié en 2022 aux éditions Salvator

Le Dr. Florence Bergeaud-Blackler , sociologue, chargée de recherche au CNRS, auteur de "Le frérisme et ses réseaux, l’enquête", publié en 2023 aux éditions Odile Jacob (cf notre rubrique " lectures choisies ").


Les points à retenir de ces trois interventions de haute qualité sont les suivants:

  • L’islam est à la fois une religion et un système d’organisation sociale prétendant régir à peu près tous les aspects de la vie.
  • Le Coran bien que considéré comme provenant directement de Dieu sans médiation humaine comporte de multiples incohérences et contradictions ; les milliers de hadiths quant à eux en introduisent de nouvelles. Cette structure et ce statut doctrinal de ses textes fondateurs, l’organisation de son clergé ainsi que le fait que cette religion (contrairement au christianisme) ne pratique pas la théologie et n’a pas de magistère, favorisent des interprétations diverses sans en permettre l’analyse contextuelle ni la critique, qui restent interdites. L’organisation de la pratique d’un islam compatible avec les valeurs des sociétés occidentales s’en trouve contrariée.
  • Seule l’analyse contextuelle du Coran, qui requiert l’abandon du concept de son « incréation », permettra une évolution de l’islam. Cette analyse a été tentée par des intellectuels musulmans mais ils sont censurés et à ce jour inaudibles. Lorsque cette analyse prendra de l’ampleur elle mènera sans doute à une crise profonde et certainement violente au sein même du monde musulman.
  • « Islam » signifie soumission. Il s’agit de la soumission à la loi islamique. Ainsi les musulmans pratiquants passent leur temps à « cocher des cases », des cases de conformité à la loi. Chaque case cochée les rapproche du salut. Pour certains, cela consiste simplement par exemple à respecter le ramadan ou consommer halal ; pour d’autres le meurtre de mécréants est une case à cocher.
  • L’islam exclut la liberté de conscience en interdisant l’apostasie (en théorie punie de mort). Mathieu Taïeb sait qu’il encourt cette sentence et s’est converti en connaissance de causes.
  • En tant que religion l’islam est radicalement différent des deux autres monothéismes et les points souvent présentés comme communs (Abraham, Jésus, Marie entre autres) n’en sont en réalité pas. Une différence fondamentale réside dans la notion d’alliance entre Dieu et les hommes qui est la pierre angulaire du judaïsme et du christianisme mais est impensable en islam.
  • L’islam est une religion tournée vers le passé, au sein de laquelle penser l’avenir au sein d’un projet politique autre qu’exclusivement islamique (contrairement aux religions catholique et judaïque) n’est pas possible.
  • L’islamisme est un islam, mais ce n’est pas tout l’islam. On ne peut pas confondre islam et islamisme: l’islam aurait pu évoluer autrement, de façon plus conforme au respect de nos démocraties occidentales, lors de son arrivée en Europe, si d’autres mouvances que celles du type des frères musulmans y avaient influencé son évolution.
  • Le frérisme procède d’un projet conçu dans les années soixante qui vise à faire de l’Occident une terre d’islam. Le frérisme est un islam adapté aux sociétés démocratiques et qui développe une influence économique et culturelle (à travers les œuvres caritatives, les clubs de sports, les écoles, les hôpitaux, les prisons, …) pour façonner la société occidentale. Il fait système, se situe dans le temps long, exige une fidélité absolue.
  • Le frérisme éduque les enfants dans le séparatisme: il leur enseigne que leurs racines, leur histoire et leur culture ne sont pas celles de la France.
  • Le frérisme utilise les failles des sociétés occidentales pour se développer: il joue avec intelligence de la culpabilisation que lui offrent nos médias et nos élites culturelles complaisants lorsqu’ils accusent les uns et les autres d’islamophobie. L’accusation d’islamophobie est l’un de ses outils plus puissants pour contraindre aux silences ceux qui dénoncent ses pratiques et ses buts, et constitue par la-même une arme terrible de l’occident contre lui-même. Le frérisme utilise également des partis de gauche (partis “coucous”, qui l’aident et le protègent jusqu'à ce que, devenu assez fort pour vivre sans eux, il les cannibalise) qui lui offrent l’accès aux décisions politiques. Enfin, le wokisme est un allié objectif du frérisme qui anesthésie les esprits et neutralise les résistances.
  • Le frérisme exclut les autres mouvances de l’islam, et en particulier celles qui pourraient construire une approche compatible avec les valeurs des démocraties occidentales.
  • La solution pour porter un coup d’arrêt à l’expansion frériste et pour aider nos concitoyens musulmans à bâtir un islam respectueux des valeurs de notre République se trouve, une fois de plus, en nous-mêmes et demande que nous mettions un point d’arrêt à la faiblesse qui régit nos sociétés depuis bientôt soixante ans. Elle réside en particulier dans:

  1. La fermeté de nos institutions lorsqu’il s’agit de faire respecter les lois, notamment celles relatives à la laïcité (la CEDH a jugé à deux reprises que l’islam est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme). L’entrisme islamiste se glisse dans chaque interstice de notre législation, et cela rendu possible par le fait que l’application de nos lois n’a pas lieu avec la fermeté nécessaire.
  2. La capacité de notre société française à résister aux différentes provocations de l’entrisme islamiste, et à résister aux tentatives de culpabilisation basées sur les accusations d’islamophobie comme aux attaques du wokisme. Nous n’avons aucune raison d’avoir honte de ce que nous sommes, et n’avons de leçon à recevoir de personne (et surtout pas des islamistes et de leurs affidés) lorsqu’il s’agit de l’aptitude de notre civilisation à développer une société harmonieuse, juste et équilibrée. Ceux d’entre nous qui détestent notre passé et promeuvent la haine de nous-mêmes, qui sont aujourd’hui prépondérants dans les médias et les élites culturelles, doivent cesser de faire le jeu des islamistes.
  3. La rupture des partis de gauche complaisants avec l’islamisme: les partis de gauche, élus grâce aux voix islamistes, leur donnent aujourd’hui la possibilité d’avoir accès à des décisions politiques qui favorisent leur développement (par exemple dans les écoles et les associations sportives grâce aux élus municipaux).
  4. La promotion d’un projet d’islam compatible avec les valeurs de notre République: une majorité de musulmans français respectent et valorisent les institutions et les principes de la République, et souhaitent jouer leur rôle de citoyen. Nous devons les aider à rompre avec les islamistes et à construire un projet d’avenir respectueux de notre République.
  5. La pression des nations occidentales sur les nations islamiques afin de les obliger à reconnaître les droits de l’homme: certaines nations islamiques jouent un rôle important dans la promotion de l’islamisme en France (à travers le financement, l’immigration, la formation des imams, …) et les nations occidentales doivent les amener graduellement à rompre avec les attitudes et les stratégies qui leur permettent de promouvoir l’islamisme.
par Charlotte Paroielle (Le Figaro) 22 avr., 2024
Tout comme aux États-Unis, on commence à voir en France quelques signes encourageants face au mouvement woke ! Le collectif Némésis fait partie de ce mouvement qui va contribuer à mener une révolte salutaire ! Un portrait à lire dans le Figaro.


RÉCIT- Le collectif Némésis, marqué très à droite, multiplie les actions contre l’islamisme ou la délinquance étrangère, angles morts des combats féministes traditionnels.

« Le féminisme est devenu un véritable champ de bataille», assure d’emblée la présidente et fondatrice du collectif Némésis, Alice Cordier. « Mais nous, nous sommes là pour lever des tabous que les associations féministes de gauche ou d'extrême-gauche ont trop longtemps mis sous le tapis». Ainsi, dès la première page de son site, le collectif suivi par près de 65.000 personnes sur X donne le ton : il faut «dénoncer l'impact dangereux de l'immigration de masse sur les femmes occidentales» et «promouvoir la civilisation européenne, non pas comme ayant réduit les femmes au rôle d'objet, mais comme le berceau de leur épanouissement».

Némésis récuse désormais le qualificatif d’« identitaire»  : « Nous l’avions choisi à l’époque pour montrer que nous allions parler des femmes françaises. Nous n’avions pas vocation à parler de toutes les femmes du monde », tient à préciser Alice Cordier. « Aujourd’hui, il est trop associé à une identité fermée sur elle-même. On lui préfère l’expression de féminisme de droite, ou encore de féminisme du réel».

Face à elles et dans le cadre d’un duel «sororicide», les associations mastodontes, dont #NousToutes ou Osez le féminisme!, s’emportent. «C’est simple, pour nous, le féminisme d’extrême-droite n’existe pas, tacle Gwen de #NousToutes. Car si le féminisme est pluriel, il ne peut en aucun cas défendre des idées racistes, anti-immigration, anti-choix et très conservatrices». Pourtant, le mouvement né en octobre 2019 ne cesse de prendre de l’ampleur.

Cologne, la naissance de la «colère»

Mais d’où vient-il précisément ? À l’aube de l’année 2016, l'idée de ce groupe germe dans l’esprit de plusieurs jeunes femmes, dispersées aux quatre coins de la France. Âgées de moins de 20 ans, ces dernières sont choquées par les terribles événements qui secouent l’Allemagne dans la nuit du 31 décembre 2015 au 1er janvier. Ce soir-là, plus de 1000 femmes sont agressées simultanément, dont environ 650 à Cologne et 400 à Hambourg, par plus de 2000 hommes, selon un rapport de l'Office fédéral de police criminelle allemand.

En quelques jours, la polémique enfle sur les réseaux sociaux car ces crimes auraient été commis par des migrants ou des bandes d’hommes d'origine étrangère. Un fait qui plonge les associations féministes dominantes dans l’embarras. Chez nos voisins d’Outre-Rhin, le sujet enflamme l’opinion publique et un collectif organise une manifestation pour que la chancelière Angela Merkel durcisse le ton contre les demandeurs d'asile condamnés. Une enquête publiée six mois après les agressions montre que parmi les 120 suspects identifiés à cette date, la plupart était d'origine algérienne ou marocaine. Et près de la moitié d’entre eux étaient en Allemagne depuis moins d'un an. «Nous sommes la génération Cologne» , signe donc Némésis sur son site internet. En résumant : «L’île où les naufragés du féminisme peuvent se réfugier». «Car dans cette affaire, les femmes n’ont pas été crues. Alors que d’habitude, les victimes sont toujours écoutées immédiatement» , déplore Alice Cordier.

Mais dès le départ, le combat était en fait plus large : «Le jour où nous avons fondé le collectif, nous étions sept. On s’était rencontré via des groupes Facebook avant de se voir en vrai autour d’un verre. On s’est rendu compte que loin d’être antiféministes, on ne se retrouvait simplement pas dans les groupes déjà existants», détaille Alice Cordier. Parmi elles, une jeune femme en veut particulièrement aux associations féministes majoritaires et très marquées à gauche : agressée par un homme au nom à connotation maghrébine, la jeune femme a été obligée de «franciser» ce dernier pour «éviter la polémique». Le témoignage allait en effet être rendu public et ne devait pas participer à la « stigmatisation » des personnes issues de l’immigration.

Cristallisation sur l’Islam

«Il y avait donc de la colère entre nous» , résume Alice Cordier. «Encore aujourd’hui. De la colère contre le silence de certains médias, contre l'inaction de l'État, contre le fait que les féministes ne nous défendent pas alors qu'elles se targuent de défendre toutes les femmes. D'où le nom de Némésis, la déesse de la colère». «Dans les mythologies grecque et romaine, Némésis renvoie aux notions de vengeance et de pudeur» , précise Jean-Yves Camus, qui dirige l'Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès. Le mot signifie certes la colère mais celle qui s’abat sur les hommes capables d’ «ubris» , donc de «démesure» , poursuit le spécialiste.

Cette nouvelle mouvance pense ainsi «qu'aujourd'hui, les femmes sont menacées par deux types de comportements : la négation de la différenciation des genres (différentiation ne signifie pas inégalité mais complémentarité) par la gauche radicale et la soumission à une culture musulmane vue comme intrinsèquement opposée à la liberté des femmes» , détaille-t-il. Car la base de ce féminisme, « c'est l'ethno-différentialisme», poursuit le spécialiste . «C'est-à-dire la conviction qu'il existe une incompatibilité radicale entre la civilisation européenne et, essentiellement, l'islam en tant que système politique - et pas seulement religieux - qui stipule la soumission comme valeur centrale, que ce soit celle de la femme à l'homme ou de la raison à la charia ».

C’est en effet principalement sur l’islam que les deux pôles militants s’écharpent : «On ne peut pas être pour le port du voile en France, et contre celui-ci en Iran» , tranche d’abord Alice Cordier «D'ailleurs, je reçois beaucoup de messages d'Iraniennes qui nous saluent» , poursuit-elle. Gwen, de #NousToutes, voit les choses différemment. Elle, qui refuse d’évoquer la «religion» mais préfère parler de « patriarcat », avance : «Ce que nous défendons, c'est la liberté de choisir. Si des femmes souhaitent le porter en France, elles le portent, et si elles ne veulent pas le porter en Iran, elles ne doivent pas être obligées à le faire».

Des échanges impossibles

Le dialogue est d’autant plus difficile que les militantes ne se croisent pas souvent. « Discuter serait stérile car on ne parle pas le même langage », lance en effet la porte-parole de #NousToutes dès qu’elle se voit proposer un échange avec les militantes identitaires. Et cela peut avoir des répercussions sur la polarisation de chaque camp. Pour la féministe Marguerite Stern, ancienne membre des Femen, ce militantisme marqué à droite est une réponse - si ce n’est une réaction - à la prise en main du féminisme par les «intersectionnelles de gauche» et à l’impossibilité de dialogue.

La militante à l’origine des collages féministes qui ont fait le succès de ces mouvements de gauche ces dernières années, estime qu’il existe aujourd’hui une sorte de «pureté militante et une injonction à la pensée unique» dans ces groupes. Elle et Dora Moutot, avec qui elle a créé l'association «Femelliste» pour «lutter contre les dérives de l'idéologie transgenre », en ont d’ailleurs fait les frais. «Elles ne veulent pas nous voir, on n'est jamais conviées aux différents festivals féministes. Dès que l'on sort du dogme du féminisme d'extrême gauche, dès qu'on n'adhère plus à tous les points mis en place, on n'a plus voix au chapitre», assure Dora Moutot. En soufflant : «Et ce féminisme est célébré partout, par les médias, par le service public… »

Leur « dogme » se fonde sur de multiples idéaux affichés par #NousToutes sur leur site : antiracisme, identité de genre, statut de «migrant·e·s», entre autres. « À l’époque, on nous avait reproché de ne pas assez prendre des positions sur des sujets, et justement on a essayé de le faire », justifie Gwen, de #NousToutes. Mais pour Nelly Garnier, élue LR de la ville de Paris qui a travaillé sur la question, ce jeu peut être dangereux : «Quand on met le féminisme au service d'une autre cause, on se pose toujours la question du combat que l'on porte en premier», analyse-t-elle. Par exemple, certains mouvements [de gauche] ont passé sous silence les viols du 7 octobre pour ne pas nuire à la cause palestinienne», détaille-t-elle. Et pour l’élue, les défauts sont identiques à droite : « Aujourd'hui, je m'inquiète qu'il se passe la même chose quand on met le féminisme au service d'un discours anti-immigration ».

Némésis se défend pourtant et explique pourquoi elle ne parle que de ce sujet : « Évidemment, sur les actions qu'on mène, nous avons fait un focus sur les violences dont personne ne parle », détaille Alice Cordier. « On n'aurait pas de plus-value sur les violences conjugales car #NousToutes le fait déjà très bien. Or, le but est de taper sur toutes les violences, donc on a décidé de faire le sale travail, de parler de sujets dont personne ne veut lever le tabou ».

Des happenings chocs

Et pour imposer ses sujets dans le débat public, le petit groupe multiplie les «happenings» , c'est-à-dire les interventions chocs lors de manifestations pour la cause féministe, où elles ne sont pas les bienvenues. « La première fois, en novembre 2019, un mois après notre création, nous sommes arrivées dans le cortège de #NousToutes et tous les médias avaient les yeux rivés sur nous : on critiquait les féministes de l’époque comme Marlène Schiappa ou Caroline de Haas qui avait proposé d’élargir les trottoirs pour mettre fin au harcèlement de rue ». Plus récemment, Némésis a même fait un choix plus radical : « Après avoir été exclues à plusieurs reprises de manifestations, nous avons décidé de venir en burqa, avec des pancartes chocs : “Ma burqa, mes choix” et “Mon coran, mes lois”. Et loin d’être virées, on a gagné le concours des 10 meilleures pancartes », détaille encore la fondatrice du collectif.

Laquelle voit d’ailleurs l’avenir d’un bon œil. « Nous sommes aujourd’hui 200, dans une quinzaine d’antennes à travers la France. Mais cela va grossir ». D’autant que pour la militante, le féminisme «woke» tel qu’il existe aujourd’hui est voué à disparaître : « Depuis 5 ans, le paysage médiatique a changé. Les événements dramatiques vont se multiplier montrant que les combats de ces féministes sont contradictoires », appuie-t-elle en faisant référence à plusieurs affaires récentes dont celle de Shemseddine - un jeune homme roué de coups à mort car coupable d’avoir échangé des messages relatifs à la sexualité avec la sœur de l’un de ses agresseurs. Et le collectif ne s’arrête pas là. Il se réjouit d’avoir ouvert son groupe à d’autres horizons : « Nous avons dans nos rangs des macronistes, des LR et des RN et Reconquête. Nous avons aussi des gens de différentes obédiences religieuses et des femmes issues de l’immigration», explique Alice Cordier, avant de lancer, bravache : «Je donne cinq ans pour que la majorité pense comme nous».



par François Xavier Bellamy 26 mars, 2024
Discours de François Xavier Bellamy prononcé au cours du meeting de lancement de la campagne pour les européennes :

par Ludovic Lavaucelle 25 mars, 2024
"Cela devait passer « comme une lettre à la poste »… Le Premier Ministre irlandais, Leo Varadkar a dû admettre lapidairement que « le gouvernement s'était trompé » . Le référendum du 8 mars dernier proposait une révision de la Constitution, jugée par les élites libérales comme « arriérée et sexiste » . Pour engager la République d'Irlande sur la voie d'une véritable libération – promesse de lendemains enchantés – il fallait débarrasser le pays des traces sexistes qui entachaient sa Constitution. D'abord, redéfinir la famille – toujours liée au mariage. "

par Victor Eyraud, Entretien avec Guilhem Carayon dans VA 18 mars, 2024
Une interview de Guilhem Carayondans Valeurs Actuelles parVictor Eyraud en réaction à l'occupation d'un amphithéâtre de Sciences Po Paris pardes militants pro-palestiniens :
par Roland Mézières 09 févr., 2024

Vendredi matin 26 janvier 2024, j’ai eu un moment de colère après avoir écouté les informations. En effet j’apprends que la loi immigration et intégration a été quasiment censurée par le Conseil Constitutionnel. Dans le contexte d’une autre actualité brulante qu’est la colère des agriculteurs, j’ai fait alors ce constat effrayant : la France est sous une triple tutelle ; Bruxelles, le 49.3 et le Conseil Constitutionnel.


Et je me suis logiquement interrogé sur l’utilité du Sénat et de l’Assemblée Nationale, notre parlement qui représente le peuple. Par ailleurs, je me suis demandé à quoi servait la Cours des Comptes qui publie des rapports souvent pertinents mais qui ne sont jamais pris en compte, surtout quand ils sont volontairement révélés quand il est trop tard.


Fort de ses réflexions, je me suis penché sur le processus qui avait conduit à ce triste constat sur la loi immigration. La loi a été initiée par le gouvernement en février 2023, elle comportait alors 27 articles. Elle a été ensuite enrichie (on dit amendée) par le Sénat pour vraiment réduire l’immigration, puis longuement débattue à l’Assemblée Nationale dans une ambiance houleuse, et finalisée grâce à une Commission Mixte Paritaire avant d’être difficilement votée par l’Assemblée Nationale le 19 décembre 2023. Dans la foulée le PR soumet la loi composée de 86 articles au Conseil Constitutionnelle. La loi va alors être vidée de sa substance parlementaire mais le texte originel et gouvernemental va être globalement conservée dans la loi 2024-42 promulguée le 26 janvier 2024. Tous les dispositifs visant à vraiment réduire l’immigration et surtout la décourager (quotas, regroupement familial, aides sociales, aides médicales, etc.), ont été censurés car considérés comme des cavaliers législatifs (je n’ai pas bien compris sinon qu’il est interdit d’amender une loi avec des dispositifs en lien direct ou indirect avec l’immigration, donc le sujet de la loi). Fin de l’histoire ! Mr Darmanin et Mr Macron sont satisfaits, ils ont gagné.


La gauche est contente, l’ultra-gauche casse tout à Rennes avant même de connaitre la décision du Conseil Constitutionnel, la droite crie au hold-up démocratique, L Wauquiez dénonce même un coup d’état de droit. Devant ce tôlé, Mr Fabius, président du Conseil Constitutionnel, s’inquiète pour son institution mais pas pour le peuple ; il faut noter qu’il n’a rien fait à propos de la grasse rémunération des membres (environ 15000€/mois), qui a une base illégale selon Le Monde du 26 juin 2020 ! Quant à Mr Moscovici, un autre éléphant du PS, il savoure son entourloupe en retardant la publication du rapport sur l’immigration.


Circulez braves gens, il n’y a rien à voir. On s’occupe de tout…c’est promis nous allons renvoyer tous les OQTF chez eux. Deux millions d’immigrés depuis 2017 quand même, « ya du boulot » !!!!!


Mais l’histoire n’est pas finie sur ce sujet, des QPC (Question Prioritaire sur la Constitution) nous guettent. Rêvons et espérons que le monde agricole va mettre un sérieux coup de pied à tous ces technocrates de Bruxelles et du gouvernement !

par Jean-Pierre Riou (Contrepoints) 23 janv., 2024
« C’est notamment la raison pour laquelle l’agence des réseaux allemands (Bundesnetzagentur) vient d’interdire en décembre dernier toute fermeture de centrale à charbon jusqu’à avril 2031. »
Une analyse intéressante de la politique énergétique européenne et de des contradictions ! 
A lire dans Contrepoints :
par Lignes Droites 14 janv., 2024

Nicolas Bonleux, président de Lignes Droites, a participé à l'émission "La mêlée de l'info" sur Radio Présence jeudi dernier, 13 janvier.
Vous pouvez écouter ou réécouter l'émission en replay ici :

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